Bon alors je sais que ce n'est pas grand chose, et que les explications ne sont pas très claires, mais ça peut toujours servir.
Voici le liens pour installer une imprimante HP sur une distribution Fedora.
Sur le Forum de fedora-fr.org il y a moyen aussi de trouver de l'aide.
Forum n°1 : Problème imprimante deskjet 710c
Forum n°2 : Problème driver Hp DeskJet
Forum n°3 : Problème installation HP Deskjet 722C sur port parallèle (posté par moi le Vendredi 7 Août 2009)
J'ai essayé l'imprimante C4480 sur la configuration du 17 Mai 2007 sans donner de résultat. Je l'ai installée sur la configuration du 13 Février 2009, ça fonctionne. À l'étape n°7, il n'est pas obligatoire de régler SELinux en "Permissive". Si SELinux est en dans ce réglage, il y a pas de message d'erreur qui apparait quand on imprime. C'est tout.
Bonne installation.
mercredi 19 août 2009
vendredi 14 août 2009
PC - Modification Ventilation - Du 12 Août 2009
Je suis parti sur ma configuration actuelle, mais j'ai modifié la ventilation du boîtier. Je me suis pris 4 Ventilateurs Scythe Gentle Typhoon 120mm D1225C12B4AP-14 - 21 dba et 1 Ventilateur Scythe Gentle Typhoon 120mm D1225C12B5AP-15 - 28dba.
On peut constater des pales plus petites et plus courbées avec un rotor plus imposant par rapport aux ventilateurs de la marque. Scythe à fait appel à SERVO, fabricant de ventilateur Japonnais pour la fabrication des Gentle Typhoon (Ici, PDF des ventilateurs). Le bundle est relativement classique (sac de 4 vis, et connecteur Molex 3 pins fan), mais les performances sont très correctes.
L'article de PCAssemblage, n°30 explique plus en détails les différentes gammes, et donnent des tests.
Donc les quatre même pour la ventilation du boîtier et le AP-15 pour le processeur. Une petite bidouille a du être faite pour le mettre sur le radiateur.
Voici le ventilateur avant la bidouille :

Voici le ventilateur après la bidouille :

Et une fois monté sur le radiateur. C'est à cause des ressorts que çà ne passe pas.

Avec un petit zoom vu de dessus :

J'ai effectué la modification avec une lime fine (lime sur la face et la tranche), et un scalpel pour faire une découpe plus propre. Mais c'est assez dur d'accès. La matière plastique se travaille bien car c'est plastique dur. Et c'est relativement rapide à faire.
J'ai gagné 10°C en température de Disques Durs, après pour le processeur, je n'ai pas encore installé de soft pour lire les températures. Et pour le GPU, c'est sensiblement pareil. J'y gagne en bruit et en température. Je ne regrette pas l'achat.
Bon bricolage ;-)
mercredi 12 août 2009
Linux - CD Audio - 2éme partie
2ÈME PARTIE
COMPRESSER UN FICHIER AUDIO
COMPRESSER UN FICHIER AUDIO
Présentation :
Pour compresser un fichier audio, il y a au minimum deux logiciels avec une avec une interface graphique et un en ligne de commande :
- X Convert File Audio, ou xcfa
- OggConvert
- oggenc (ligne de commande)
- d'extraire les pistes sons d'un DVD audio,
- de ripper également un CD,
- compresser des fichiers (compression avec et sans perte),
- découper des fichiers,
- faire des pochettes
- ...
Ainsi pour la suite, je vais expliquer rapidement le fonctionnement de ce dernier.
Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, j'ai effectué un impr-écrans de xcfa :

Fenêtre de réglage
Installation :
Depuis le gestionnaire de paquets de la distribution, ou directement depuis une ligne de commande en root... il faut installer les paquets suivants :
- libvorbis
- vorbis-tools
- vorbisgain
- ogmtools
Utilisation :
Identique : depuis la ligne de commande :
Il suffit de se mettre dans le répertoire où les fichiers ont été ripper, et les compresser avec la commande suivante : "$ oggenc *.wav -q 10" où :
Identique : depuis la ligne de commande :
Il suffit de se mettre dans le répertoire où les fichiers ont été ripper, et les compresser avec la commande suivante : "$ oggenc *.wav -q 10" où :
*.wav pour compresser tous les fichiers wav ce situant dans le répertoire,
-q 10 pour avoir une qualité de 10 sur 10.
Lors de la compression, on peut voir le pourcentage qui augmente avec une petite animation :
-\|/-\|/ qui tourne
Une fois l'encodage terminé, plusieurs informations apparaissent :
- la longueur du fichier,
- le temps écoulé pour la compression,
- le taux,
- le débit moyen.
Il faut bien respecter la casse, sinon la commande ne fonctionne pas, ou de donnera pas forcement le résultat souhaité.
Voici quelques documentations intéressantes :/pwet.fr/man/linux
Linux - CD Audio - 1ére partie
1ÉRE PARTIE
Utilisation principale de cdparanoia

RIPPER UN CD AUDIO
Présentation :
Pour ripper un CD il y a au minimum cinq logiciels disponibles :
Et deux soft en ligne de commande :
Et quelques conseils, et informations sur les forums :
- Extraction audio : cdda2wav ou cdparanoia (Forum Debian)
- Copier un CD rayé (Forum Debian)
- Ripper CD Audio (Forum Fedora)
- Compression son (Forum Fedora)
Bon, je ne vais pas tous les expliquer. Concernant les logiciels non détaillés ici, il y a le lien direct. Je pense qu'ils sont tous aussi compétents les uns que les autres. Tout est une question de goût.
Perso, j'utilise cdparanoia. Ainsi pour la suite, je vais expliquer rapidement le fonctionnement de ce dernier.
Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, j'ai effectué des impr-écrans des 4 softs avec une interface graphique :
Installation :
Depuis le gestionnaire de paquets de la distribution, ou directement depuis une ligne de commande en root... il faut taper "cdparanoia" puis de le sélectionner pour l'installer.
Utilisation :
Rien de plus simple : depuis la ligne de commande :

Avec la commande suivante : "$ cdparanoia -d /dev/sr0 -v -B" où :
-d /dev/sr0 représente le lecteur contenant le CD à ripper,
-v pour que cdparanoia soit particulièrement bavard,
-b permet la sortie en plusieurs fichiers au niveau des limites de pistes. Les noms des fichiers en sortie seront préfixés par "track #".
On peut également voir les étapes de l'extraction (défauts rencontrés grâce aux smileys, avancement de chaque piste et avancement global, ...).
Et pour extraire une seule piste :

Avec la commande suivante : "$ cdparanoia -d /dev/sr0 -v -B" où :
-d /dev/sr0 représente le lecteur contenant le CD à ripper,
-v pour que cdparanoia soit particulièrement bavard,
-b permet la sortie en plusieurs fichiers au niveau des limites de pistes. Les noms des fichiers en sortie seront préfixés par "track #",
"8" est la piste unique à ripper.
Il faut bien respecter la casse, sinon la commande ne fonctionne pas, ou de donnera pas forcement le résultat souhaité.
Cas où le CD est rayé:
cdparanoia peut coriger pas mal de raillures. Après il y a cdda2wav. Et si jamais, le cd saute toujours, il y a Exact Audio Copy ainsi que CDex mais sous Windows.
Je ferai une description ultérieurement sur cette section.
Voici quelques documentations intéressantes :
Documents annexes :
dimanche 9 août 2009
Linux - BleachBit
Présentation
Un petit soft conçu permettant de nettoyer le cache du système pour récupérer de l'espace disque et surtout pour garder une vie privée sur le PC. Enfin...... En plus, il est conçu pour fonctionner sous Linux et Windows.
Il permet de faire le ménage parmi les applications suivantes : Abode Reader, aMSN, Easytag, Firefox, GIMP, OpenOffice, ... et d'autres softs. Liste en détail ici. En bref, il nettoie aussi tous les historiques des chats, des navigateurs webs et l'historique...
Mais quel intérêt puisqu'on peut aussi le faire des softs ? Il ne prend pas trop de place, et là c'est un soft qui fait tout le ménage d'un coup : une pierre deux coups.
Installation
Il faut aller sur le site officiel, page téléchargement. Ou cliquer ici ;-). De cette page, on peut observer un logiciel interopérable (multi OS), pour Debian, Fedora, Mandriva, Unbuntu, openSUSE et Windows.
Donc il faut télécharger pour l'OS en question. Là je vais expliquer l'installation pour la Fedora 11, car je tourne dessus. Rien de plus simple : téléchargement et double-cliquer sur le fichier qui vient d'être download. Le gestionnaire KPackageKit l'installe, après avoir donné le mot de passe root.
Une fois installé, il est accessible dans le menu -> Outils système -> BleachBit. En mode classique ou root.
Utilisation
Pour la première ouverture, une fenêtre "Préférences" apparaît, avec deux onglets : "Général" et "Langues"
Sélectionner les options souhaitées (dans général et langues), puis cliquer sur "Fermer". On peut avoir acces à ce menu depuis "Éditer", "Préférences"
Dés que l'on sélectionne une partie, "Système" pour l'exemple, on aperçoit sur la partie droite du soft les détails.

Une fois que l'on a sélectionné les fichiers à nettoyer, il y a plus qu'à cliquer sur "Supprimer" et confirmer. Si on veux prévisualiser, on peut aussi..
Une fois le nettoyage effectué - complet - j'ai nettoyé de 960 Mo mon disque dur. Pas mal.

Bon nettoyage.
Un petit soft conçu permettant de nettoyer le cache du système pour récupérer de l'espace disque et surtout pour garder une vie privée sur le PC. Enfin...... En plus, il est conçu pour fonctionner sous Linux et Windows.
Il permet de faire le ménage parmi les applications suivantes : Abode Reader, aMSN, Easytag, Firefox, GIMP, OpenOffice, ... et d'autres softs. Liste en détail ici. En bref, il nettoie aussi tous les historiques des chats, des navigateurs webs et l'historique...
Mais quel intérêt puisqu'on peut aussi le faire des softs ? Il ne prend pas trop de place, et là c'est un soft qui fait tout le ménage d'un coup : une pierre deux coups.
Installation
Il faut aller sur le site officiel, page téléchargement. Ou cliquer ici ;-). De cette page, on peut observer un logiciel interopérable (multi OS), pour Debian, Fedora, Mandriva, Unbuntu, openSUSE et Windows.
Donc il faut télécharger pour l'OS en question. Là je vais expliquer l'installation pour la Fedora 11, car je tourne dessus. Rien de plus simple : téléchargement et double-cliquer sur le fichier qui vient d'être download. Le gestionnaire KPackageKit l'installe, après avoir donné le mot de passe root.
Une fois installé, il est accessible dans le menu -> Outils système -> BleachBit. En mode classique ou root.
Utilisation
Pour la première ouverture, une fenêtre "Préférences" apparaît, avec deux onglets : "Général" et "Langues"
Sélectionner les options souhaitées (dans général et langues), puis cliquer sur "Fermer". On peut avoir acces à ce menu depuis "Éditer", "Préférences"
Dés que l'on sélectionne une partie, "Système" pour l'exemple, on aperçoit sur la partie droite du soft les détails.

Une fois que l'on a sélectionné les fichiers à nettoyer, il y a plus qu'à cliquer sur "Supprimer" et confirmer. Si on veux prévisualiser, on peut aussi..
Une fois le nettoyage effectué - complet - j'ai nettoyé de 960 Mo mon disque dur. Pas mal.

Bon nettoyage.
mercredi 5 août 2009
Linux - Fedora 11 - gDesklets
Voici un petit soft sympa qui permet de mettre des gadgets sur le bureau. INUTILE DONC INDISPENSABLE.....!!!! Nan, je déconne.
1ére étape : l'installation
Très simple, depuis yumex. Les différentes paquets à installer :

2ème étape : le lancement
Le soft est directement accessible depuis "Applications" -> "Accessoires" -> "gDesklets"

Bon faut avouer, quand je l'ai ouvert......... Mais d'office, il y a l'heure, la date et la météo.
Exemple : la météo
Une fois le logiciel ouvert, cliquer sur "uncategorized" puis "GoodWeather display"

Pour configurer la météo, il faut aller sur Prévisions météo France Europe et monde, cartes - meteo123.com. De là, il faut taper dans la zone de recherche la ville souhaitée. Bon pour Issy-L'eveque, il ne connait pas (Désolé Maryline), mais Le Creusot, il connait.
Une fois la ville trouver, il faut aller dans la barre d'adresse et l'ensemble des chiffres et lettres après la ville.
Après aller sur desklet de la météo, bouton droit et cliquer sur "Configurer le desklet". Ensuite, une fois la fenêtre ouverte, mettre dans "Location Code" les chiffres qui ont été sélectionnés dans la barre d'adresse.

Les plus
Pour plus de desklets, il y a le site officiel.
Avec les applets fournis par GNOME, plus ces desklets, tu ne risques pas de t'ennuyer. ;-)
1ére étape : l'installation
Très simple, depuis yumex. Les différentes paquets à installer :

2ème étape : le lancement
Le soft est directement accessible depuis "Applications" -> "Accessoires" -> "gDesklets"

Bon faut avouer, quand je l'ai ouvert......... Mais d'office, il y a l'heure, la date et la météo.
Exemple : la météo
Une fois le logiciel ouvert, cliquer sur "uncategorized" puis "GoodWeather display"

Pour configurer la météo, il faut aller sur Prévisions météo France Europe et monde, cartes - meteo123.com. De là, il faut taper dans la zone de recherche la ville souhaitée. Bon pour Issy-L'eveque, il ne connait pas (Désolé Maryline), mais Le Creusot, il connait.
Une fois la ville trouver, il faut aller dans la barre d'adresse et l'ensemble des chiffres et lettres après la ville.


Les plus
Pour plus de desklets, il y a le site officiel.
Avec les applets fournis par GNOME, plus ces desklets, tu ne risques pas de t'ennuyer. ;-)
mardi 4 août 2009
Linux - MediaInfo
Salux,
Voici un petit utilitaire sympathique : MediaInfo. C'est un soft qui fournit des informations et des tags sur les fichiers audio et vidéo.
Format audio reconnus :
Conteneurs et format vidéo reconnus :
Pour ce qui touche la vidéo, il nous permet de prendre connaissance des informations suivantes :
Voici un petit utilitaire sympathique : MediaInfo. C'est un soft qui fournit des informations et des tags sur les fichiers audio et vidéo.
Format audio reconnus :
- AAC
- APE
- FLAC
- OGG
- MP3
- M4A
- WAV
- ...
Conteneurs et format vidéo reconnus :
- AVC/H264
- AVI
- ASP
- DivX
- MPEG
- MPEG-4
- MKV
- OGM
- QuickTime
- Real
- VOD (DVD)
- WMV
- XviD
- ...
Format sous-titres reconnus :
- ASS
- SAMI
- SRT
- SSA
- ...
MediaInfo est capable de fournir de nombreuses informations, dont l'aspect des vidéos, le nombre d'images par seconde, le débit utilisé, la fréquence d'échantillonnage des pistes audio ou encore le nombre de canaux disponibles, ...
Il permet d'afficher des données concernant un fichier en particulier ou tout un dossier.
Concernant les fichiers audio, MediaInfo fournit les données suivantes :
Il permet d'afficher des données concernant un fichier en particulier ou tout un dossier.
Concernant les fichiers audio, MediaInfo fournit les données suivantes :
- Titre
- Interprète
- Nom de l'album
- Codec
- Logiciel de conversion utilisé
- ...
Pour ce qui touche la vidéo, il nous permet de prendre connaissance des informations suivantes :
- Format
- Langue
- Taille
- Durée
- Nombres d'image par seconde
- Langue des sous-titres
- Codec
- Nombre de chapitre
- ...
Il est possible de d'afficher l'ensemble des données selon le mode d'affichage (texte, HTML, arborescence, simple, ...) ainsi que les exporter (texte, CSV, HTML, ...)
Ici, un lien sur le site donnant toutes les différentes informations sur les formats supportés.
Et là les différents tags supportés
Pour l'nstallation de MediaInfo, deux principales options sont disponibles. Il est possible d'installer le paquet GUI (Graphical User Interface) afin de bénéficier d'une interface graphique ou le paquet CLI (Command Line Interface) en vue de l'utiliser depuis les lignes de commande.
Attention, il faut installer deux librairies :
Ici, un lien sur le site donnant toutes les différentes informations sur les formats supportés.
Et là les différents tags supportés
Pour l'nstallation de MediaInfo, deux principales options sont disponibles. Il est possible d'installer le paquet GUI (Graphical User Interface) afin de bénéficier d'une interface graphique ou le paquet CLI (Command Line Interface) en vue de l'utiliser depuis les lignes de commande.
Attention, il faut installer deux librairies :
- libzen0
- libmediainfo0
- Puis l'interface graphique le paquet GUI (interface graphique) et/ou CLI (ligne de commande)
Petite note importante, MediaInfo peut-être installer sur beaucoup d'OS. Les principales distributions Linux sont supportées (Débian, Unbuntu, RedHat, CentOS, Fedora, openSUSE, Mandriva et archlinux) de même que pour Windows (95, 98, Me, 2000, XP, 2003, Vista et Seven) et sans oublier bien sur Mac OS (Tiger (10.4), Leopard (10.5), Snow Leopard (10.6)). Et si jamais l'installation sur un système qui n'a pas été énuméré, il y a les codes sources.
Exemples :
Lectures d'informations sur un fichier vidéo (Film compresser depuis un DVD perso pour l'exemple) :

Exemples :
Lectures d'informations sur un fichier vidéo (Film compresser depuis un DVD perso pour l'exemple) :

Paraboloïdes hyperboliques - le derniers petit bébé
A force de dire que j'ai fait un, j'ai hâte d'avoir fini. Étant en vacance je profite pour le faire. J'ai déjà une idée de titres. Je pense que cela portera sur le "négatif-positif" au sens photographique bien sur. Difficile de trouver des citations dessus. Je continue de chercher tout en dessinant et profiter de mes vacances. Quand même.......... ;-)
samedi 1 août 2009
Linux - Fedora 11 - Bug Vidéo
L'installation se passe bien, et ........... après un certain temps il y a des bugs dans la lecture de la vidéo. Je ne pense pas que cela vienne du temps d'utilisation du système depuis l'installation, mais le temps de lecture depuis l'installation. Exemple :
en temps que utilisateur principal (je me regarde pas mal de vidéo) : bug vidéo .

je change de session - utilisateur alpha (jamais de vidéo) : non bug vidéo.
J'essaye de résoudre le souci, je le partage dés que l'on m'a aider à trouver la solution.
;-)
en temps que utilisateur principal (je me regarde pas mal de vidéo) : bug vidéo .

je change de session - utilisateur alpha (jamais de vidéo) : non bug vidéo.
J'essaye de résoudre le souci, je le partage dés que l'on m'a aider à trouver la solution.
;-)
lundi 13 juillet 2009
Linux - Fedora 11 - Installation
Je suis actuellement sur Windows XP Pro (32 et 64 Bits), ainsi que la F11 et la F9. Je vais expliquer les différentes démarches que j'ai effectuées pour installer la F11. Grâce au site france la fedora. Site très bien fait, avec un forum, des docs, et des tas d'autres trucs très utiles.
Téléchargement
Téléchargement sur le site officiel, à la page d'acceuil de fedora-fr.org ou télécharger la fedora. Bien choisir entre live CD ou DVD, l'architecture (32 bits (i386) ou 64 bits (x86_64) ou aux mac d'avant juin 2005 (PPC). Et puis y a plus qu'a download le tout.
Ne pas oublier de vérifier la ou les images ISO, c'est expliqué à la page dans partie "4ème étape : Vérification des images ISO".
Graver l'image sur DVD.
Installation sur le Disque Dur
Aller dans le BIOS de la carte, et il faut la régler pour qu'elle boote en premier sur le lecteur CD/DVD ou le CD/DVD d'installation est mis. Moi perso, je boote sur mon lecteur de DVD externe. Ça fonctionne très bien. Une fois que l'installation est lancé, y a qu'à suivre.
Juste pour info, je l'ai installer sur la configuration du 13 Février 2009, et ça roule sans souci. Le RAID 0 est reconnu sans problème.
Ensuite,
Installation
Une fois l'installation effectuée, le pc redémarre, demande des détails, et zou nous voilous à la fenêtre de connexion.
Par défaut, il n'est plus possible de se connecter en root.
Perso, au niveau de l'environnement graphique, je conseil gnome. Mais après tout c'est une question de choix. Sur mon pc gnome est plus stable, il plante moins souvent. Kde propose pas mal de choses intéressantes aussi... Question de goût.
Donc, connexion en utilisateur classique et installation en ligne de commande au début. Mais bon, c'est pas méchant, c'est même très simple. Ouverture d'un terminal "Applications" - "Outils Système" - "Terminal".
Depuis le terminal, taper la commande : "su -". Rentrer le mot de passe (Mot de passe administrateur ou root, c'est pareil). ("su : super utilisateur" ou "switch user")
Pour la configuration du réseau :
Les étapes suivantes expliquent pour configurer le réseau filiaire. Il y a d'autres moyens de connexion pour se brancher à internet. Mais celui-ci est le plus simple à configurer : prise(s) sur le modem ou la box et prise(s) réseaux sur la plupart des cartes mères.
La manipulation a l'air un peu compliqué, mais rien de méchant.
Donc, en arrivant dans la session, il se peut que la carte réseau ne soit pas connecter au réseau. Si le câble est correctement branché, mais qu'il apparait une icône type "deux pcs avec une croix blanche sur fond rouge" dans la barre des tache, c'est qu'il faut configurer la carte.
Zoom sur l'icône :

Ensuite, voici les étapes à suivre.






Pour l'installation de yakuake :
Explication de yakuake : "La console est le meilleur ami de l'utilisateur de Linux. Quand bien même vous utilisez une interface graphique, vous avez souvent besoin d'une console ; de plusieurs consoles, même !
Yakuake est la solution. D'un appui sur une touche, une console à la Quake se déroule du haut de l'écran. Vous pouvez y lancer une commande, et un nouvel appui sur la touche la fait disparaître. De plus, Yakuake implémente des onglets pour avoir plusieurs consoles à votre disposition.". Donc pour l'installation, rien de plus simple "yum -y install yakuake".
Explications :
yum : yum est un outil permettant de gérer les installations, les désinstallations et les mises à jour. Plus d'info sur YUM : Configuration du gestionnaire de paquets.
-y : oui à tous
install : installation
yakuake : yakuake.
Ça signifie qu'il va installer yakuake sans poser de question.
Pour l'installation de yumex :
Yumex est une interface graphique de yum (Yum Extender). C'est très pratique. On cherche un type de logiciel, un nom en particulier, ou, .... Il suffit de taper dans la zone de recherche. Et voilou.
Idem que yakuake, sauf que c'est yumex "yum -y install yumex".
Pour l'installation des drivers graphiques nVidia :
Donc explication pour nVidia.
Les sources :
Configurations des dépôts
Installation des drivers nVidia - La documentation de la fedora-fr.org
Installation des drivers nVidia - sur le Forum de la F11, section matériel
Configurations des dépôts :
Depuis un terminale, ou de yakuake (les manipulations doivent être faite depuis le mode root "su -")
rpm -ivh http://download1.rpmfusion.org/free/fedora/rpmfusion-free-release-stable.noarch.rpm
rpm -ivh http://download1.rpmfusion.org/nonfree/fedora/rpmfusion-nonfree-release-stable.noarch.rpm
Installations des drivers nVidia :
Dans yumex installation de :
Téléchargement
Téléchargement sur le site officiel, à la page d'acceuil de fedora-fr.org ou télécharger la fedora. Bien choisir entre live CD ou DVD, l'architecture (32 bits (i386) ou 64 bits (x86_64) ou aux mac d'avant juin 2005 (PPC). Et puis y a plus qu'a download le tout.
Ne pas oublier de vérifier la ou les images ISO, c'est expliqué à la page dans partie "4ème étape : Vérification des images ISO".
Graver l'image sur DVD.
Installation sur le Disque Dur
Aller dans le BIOS de la carte, et il faut la régler pour qu'elle boote en premier sur le lecteur CD/DVD ou le CD/DVD d'installation est mis. Moi perso, je boote sur mon lecteur de DVD externe. Ça fonctionne très bien. Une fois que l'installation est lancé, y a qu'à suivre.
Juste pour info, je l'ai installer sur la configuration du 13 Février 2009, et ça roule sans souci. Le RAID 0 est reconnu sans problème.
Ensuite,
Installation
Une fois l'installation effectuée, le pc redémarre, demande des détails, et zou nous voilous à la fenêtre de connexion.
Par défaut, il n'est plus possible de se connecter en root.
Perso, au niveau de l'environnement graphique, je conseil gnome. Mais après tout c'est une question de choix. Sur mon pc gnome est plus stable, il plante moins souvent. Kde propose pas mal de choses intéressantes aussi... Question de goût.
Donc, connexion en utilisateur classique et installation en ligne de commande au début. Mais bon, c'est pas méchant, c'est même très simple. Ouverture d'un terminal "Applications" - "Outils Système" - "Terminal".
Depuis le terminal, taper la commande : "su -". Rentrer le mot de passe (Mot de passe administrateur ou root, c'est pareil). ("su : super utilisateur" ou "switch user")
Pour la configuration du réseau :
Les étapes suivantes expliquent pour configurer le réseau filiaire. Il y a d'autres moyens de connexion pour se brancher à internet. Mais celui-ci est le plus simple à configurer : prise(s) sur le modem ou la box et prise(s) réseaux sur la plupart des cartes mères.
La manipulation a l'air un peu compliqué, mais rien de méchant.
Donc, en arrivant dans la session, il se peut que la carte réseau ne soit pas connecter au réseau. Si le câble est correctement branché, mais qu'il apparait une icône type "deux pcs avec une croix blanche sur fond rouge" dans la barre des tache, c'est qu'il faut configurer la carte.


Ensuite, voici les étapes à suivre.
- Clique droit sur l'icône, puis cliquer sur "Modification des connexions..."

- Une fois la fenêtre de "connexions réseau" ouverte, cliquez sur l'onglet "Filaire". Sélectionner "System eth0" et "Modifier"

- Cocher la case "Connecter automatiquement" puis valider en cliquant sur "Appliquer"

- Une fois que c'est fait, l'icône avec les deux pcs et la croix doit disparaitre. Si ce n'est pas le cas, clique droit sur l'icône, et cocher la case "Activer le réseau". Ensuite, la connexion s'établit en passant par les étapes en impr-écran suivantes :


- Pour terminer par : Connexion établie. Vous êtes maintenant connecté à "System eth0"

Pour l'installation de yakuake :
Explication de yakuake : "La console est le meilleur ami de l'utilisateur de Linux. Quand bien même vous utilisez une interface graphique, vous avez souvent besoin d'une console ; de plusieurs consoles, même !
Yakuake est la solution. D'un appui sur une touche, une console à la Quake se déroule du haut de l'écran. Vous pouvez y lancer une commande, et un nouvel appui sur la touche la fait disparaître. De plus, Yakuake implémente des onglets pour avoir plusieurs consoles à votre disposition.". Donc pour l'installation, rien de plus simple "yum -y install yakuake".
Explications :
yum : yum est un outil permettant de gérer les installations, les désinstallations et les mises à jour. Plus d'info sur YUM : Configuration du gestionnaire de paquets.
-y : oui à tous
install : installation
yakuake : yakuake.
Ça signifie qu'il va installer yakuake sans poser de question.
Pour l'installation de yumex :
Yumex est une interface graphique de yum (Yum Extender). C'est très pratique. On cherche un type de logiciel, un nom en particulier, ou, .... Il suffit de taper dans la zone de recherche. Et voilou.
Idem que yakuake, sauf que c'est yumex "yum -y install yumex".
Pour l'installation des drivers graphiques nVidia :
!! Toutes ces manipulations ont été réalisées avant d'avoir faites les mises à jours !!
Je n'ai fais que nVidia, car je n'es pas de carte ATI. Mais le site de fedora-fr.org, c'est expliqué : Carte graphique ATI : installation du pilote propriétaire et sur le forum de la F11, dans la section Matériel : Pilotes ATI/AMD libre/propriétaire...Donc explication pour nVidia.
Les sources :
Configurations des dépôts
Installation des drivers nVidia - La documentation de la fedora-fr.org
Installation des drivers nVidia - sur le Forum de la F11, section matériel
Configurations des dépôts :
Depuis un terminale, ou de yakuake (les manipulations doivent être faite depuis le mode root "su -")
rpm -ivh http://download1.rpmfusion.org/free/fedora/rpmfusion-free-release-stable.noarch.rpm
rpm -ivh http://download1.rpmfusion.org/nonfree/fedora/rpmfusion-nonfree-release-stable.noarch.rpm
Installations des drivers nVidia :
Dans yumex installation de :
kmod-nvidia, kmod-nvidia-2.6.29.5-191.fc11.x86_64, xorg-x11-drv-nvidia, xorg-x11-drv-nvidia-devel, xorg-x11-drv-nvidia-libs
Bien faire attention d'installer le driver kmod-nvidia-2.6.29.5-191.fc11.x86_64 et non le kmod-nvidia-2.6.29.4-167.fc11.x86_64.
Pour l'exemple, c'était cette version là. Je viens de faire un essai - le dimanche 9 Août - il faut installer la dernière version disponible. On peut voir en bleu qu'il faut installer les mêmes versions kmod-nvidia. Et en rouge ce qu'il ne faut installer, la version est différente.
Et, sans quitter yumex, déinstallation de :
xorg-x11-drv-nouveau



Configuration de nVidia Display Settings ;
Cette manipulation, c'est pour configurer correctement pour profiter du bi-écran.
Utilisation de nVidia Display Settings ("Applications" - "Outils Systèmes" - "nVidia Display Settings") et configuration au choix. Une fois la configuration effectuée, aller dans l'onglet "X Server Display Configuration" cliquez sur "Save to X Configuration File" puis "Show preview...". Selectionnez le
texte en entier, copier. Allez dans le terminal, "su -", et "gedit /etc/X11/xorg.conf"
selectionnez le texte en entier puis coller. Enregistrer, quittez puis redémarrer.
Une fois les drivers installés, il faut tester l'accélération graphique. Une fois le pc redémarré. Pour cela, il faut ouvrir un terminal et taper la commande suivante (l'utilisateur classique suffit) : "glxinfo | grep direct"
si le message retourne : "direct rendering : Yes", c'est que l'accélération graphique fonctionne.
Et pour tester le bon fonctionnement des pilotes, taper dans le terminal la commande suivante : "glxgears"
Trois roues dentées (une bleu, une rouge et une verte) doivent tourner de manière fluide. Le résultat du test s'affiche en FPS.
Et voilas, la carte graphique est configurée. Y a des plus qui peuvent être installés, tel que un utilitaire pour overclocker la CG, .... C'est dispo à la page suivante : Installation des drivers nVidia - sur le Forum de la F11, section matériel.
Pour les mises à jour :
Dans un terminal : "su -", et "yum -y update".
Pour l'installation de la carte son Creative Sound-Blaster X-Fi XtremeGamer Fatal1ty :
Dans Yumex, installation de : kernel-devel, kernel-headers, kernel-doc, gcc, gcc-c++, libgcc et libgcj.
Télécharger le driver pour Linux sur le site de Creative, et sélectionner en bas de la page, pour Linux. Télécharger le drivers.
Une fois toutes les opérations effectués, aller dans un terminal et tapez :
su -
cd /home/Nom_utilisateur/Téléchargement/répertoire_d_extraction
make
make install
Et voilou, la carte son Creative fonctionne.
Les petits plus :
Petits plus pour la console :
Quand on utilise la console, le terminal, le shell, la ligne de commande, yakuake, .... la ligne se termine par $. Cela signifie que je suis un utilisateur standard. Si la ligne se termine par le symbole #, cela signifie que je suis en root, administrateur, ...
Attention, de la console, il faut respecter la casse (respect des majuscules et des minuscules).
La touche Tab permet de automatiquement compléter une commande.
Enfin, dernière astuce, on peut constater que le terminal est bloqué lorsque l'application, la commande est lancée. En rajoutant le caractère & à la fin de la ligne, on outrepasse ce problème.
Merci au Magazine Linux Planète, n°58.
Activation du pavé numérique au démarrage :
tapez
su -
yum -y install numlockx
gedit /etc/gdm/Init/Default
et juste à la fin, avant exit 0, mettre le code suivant :
# Active le pavé numérique au démarrage
if [ -x /usr/bin/numlockx ]; then
/usr/bin/numlockx on
fi
Et voilou, le pavé numérique est activé au démarrage.
Merci à la doc de la Fédora -Numlockx : Activer le clavier numérique au démarage
Installation de Compiz Fusion :
Compiz Fusion est la fusion de Compiz et de Beryl. Cela comprend le bureau 3D, la gestion des fenêtres, des effets de bureau (feu, goutes d'eau, les fenêtres en négatifs, aide à la concentration, les fenêtres 3D, ...), des utilitaires, ... Bref une gestion avancée des effets.
Le minimum des applications à installer sont les suivantes :

Voici quelques effets possibles :
Et bien d'autres encore...
Pour le reste :
Sur le site français de la Fedora
Sur le site français de Gnome
Sur le site français de KDE
Sur Wikipedia, la Fedora
Sur unixgarden, pour récoltez l'actu UNIX
Et notre cher google.
Bonne découverte de la F11
Bien faire attention d'installer le driver kmod-nvidia-2.6.29.5-191.fc11.x86_64 et non le kmod-nvidia-2.6.29.4-167.fc11.x86_64.
Pour l'exemple, c'était cette version là. Je viens de faire un essai - le dimanche 9 Août - il faut installer la dernière version disponible. On peut voir en bleu qu'il faut installer les mêmes versions kmod-nvidia. Et en rouge ce qu'il ne faut installer, la version est différente.
Et, sans quitter yumex, déinstallation de :
xorg-x11-drv-nouveau

Installation et désinstallation

Installation et désinstallation avec les dépendances

Demande d'importation de la clef pour l'installation, et confirmation.
Imprime écran effectuées le 14 Juillet sur une machine virtuelle "Virtual Machine Manager 0.7.0"
Configuration de nVidia Display Settings ;
Cette manipulation, c'est pour configurer correctement pour profiter du bi-écran.
Utilisation de nVidia Display Settings ("Applications" - "Outils Systèmes" - "nVidia Display Settings") et configuration au choix. Une fois la configuration effectuée, aller dans l'onglet "X Server Display Configuration" cliquez sur "Save to X Configuration File" puis "Show preview...". Selectionnez le
texte en entier, copier. Allez dans le terminal, "su -", et "gedit /etc/X11/xorg.conf"
selectionnez le texte en entier puis coller. Enregistrer, quittez puis redémarrer.
Une fois les drivers installés, il faut tester l'accélération graphique. Une fois le pc redémarré. Pour cela, il faut ouvrir un terminal et taper la commande suivante (l'utilisateur classique suffit) : "glxinfo | grep direct"
si le message retourne : "direct rendering : Yes", c'est que l'accélération graphique fonctionne.
Et pour tester le bon fonctionnement des pilotes, taper dans le terminal la commande suivante : "glxgears"
Trois roues dentées (une bleu, une rouge et une verte) doivent tourner de manière fluide. Le résultat du test s'affiche en FPS.
Et voilas, la carte graphique est configurée. Y a des plus qui peuvent être installés, tel que un utilitaire pour overclocker la CG, .... C'est dispo à la page suivante : Installation des drivers nVidia - sur le Forum de la F11, section matériel.
Pour les mises à jour :
Dans un terminal : "su -", et "yum -y update".
Pour l'installation de la carte son Creative Sound-Blaster X-Fi XtremeGamer Fatal1ty :
Dans Yumex, installation de : kernel-devel, kernel-headers, kernel-doc, gcc, gcc-c++, libgcc et libgcj.
Télécharger le driver pour Linux sur le site de Creative, et sélectionner en bas de la page, pour Linux. Télécharger le drivers.
Une fois toutes les opérations effectués, aller dans un terminal et tapez :
su -
cd /home/Nom_utilisateur/Téléchargement/répertoire_d_extraction
make
make install
Et voilou, la carte son Creative fonctionne.
Les petits plus :
Petits plus pour la console :
Quand on utilise la console, le terminal, le shell, la ligne de commande, yakuake, .... la ligne se termine par $. Cela signifie que je suis un utilisateur standard. Si la ligne se termine par le symbole #, cela signifie que je suis en root, administrateur, ...
Attention, de la console, il faut respecter la casse (respect des majuscules et des minuscules).
La touche Tab permet de automatiquement compléter une commande.
Enfin, dernière astuce, on peut constater que le terminal est bloqué lorsque l'application, la commande est lancée. En rajoutant le caractère & à la fin de la ligne, on outrepasse ce problème.
Merci au Magazine Linux Planète, n°58.
Activation du pavé numérique au démarrage :
tapez
su -
yum -y install numlockx
gedit /etc/gdm/Init/Default
et juste à la fin, avant exit 0, mettre le code suivant :
# Active le pavé numérique au démarrage
if [ -x /usr/bin/numlockx ]; then
/usr/bin/numlockx on
fi
Et voilou, le pavé numérique est activé au démarrage.
Merci à la doc de la Fédora -Numlockx : Activer le clavier numérique au démarage
Installation de Compiz Fusion :
Compiz Fusion est la fusion de Compiz et de Beryl. Cela comprend le bureau 3D, la gestion des fenêtres, des effets de bureau (feu, goutes d'eau, les fenêtres en négatifs, aide à la concentration, les fenêtres 3D, ...), des utilitaires, ... Bref une gestion avancée des effets.
Le minimum des applications à installer sont les suivantes :
- la suite compiz
- la suite compizconfig
- la suite emerald
- fusion-icon
- gnome-compiz (manager et manager-devel)
- libcompizconfig et libcompizconfig-devel

Voici quelques effets possibles :
Et bien d'autres encore...
Pour le reste :
Sur le site français de la Fedora
Sur le site français de Gnome
Sur le site français de KDE
Sur Wikipedia, la Fedora
Sur unixgarden, pour récoltez l'actu UNIX
Et notre cher google.
Bonne découverte de la F11
Inscription à :
Articles (Atom)